IL ÉTAIT UNE FOIS… LOST IN TRANSLATION
Réalisateur | Guillaume Tunzini |
Auteurs |
Guillaume Tunzini et Serge July |
Image | Guillaime Tunzini, Casey McBeath, Malo Delarue, Yoshiyuki Matsumoto |
Son | Joël Flescher, Joël Hirschfeld, Hiroyuki Saijyo |
Montage | Barbara Bascou |
Durée |
52 minutes |
Format |
HDCam, 16/9e |
Versions |
française et anglaise |
Diffuseurs |
ARTE |
Copyrights |
Folamour – ARTE France – 2015 |
- Sofia COPPOLA, réalisatrice
- Ross KATZ, producteur
- Mitch GLAZER, producteur associé
- Kiyoshi INOUE, producteur
- Nicolas SAADA, critique et cinéaste
- Lance ACORD, chef opérateur
- Brian REITZELL, compositeur, directeur musical
- Blake CRAWFORD, doublure de Bill Murray
- Marc AUGÉ, anthropologue
- Ricky HASHIMOTO, co-producteur
- Diamond YUKAI, musicien, acteur
Il était une fois… Lost in Translation retrace la genèse, l’histoire et le succès du deuxième film de Sofia Coppola, sorti en 2003. Un film d’auteur, à petit budget, mais couvert de lauriers, dont l’Oscar du meilleur scénario, le César du meilleur film étranger, et le Golden Globe du meilleur acteur à Bill Murray.
Bob (Bill Murray), une star américaine sur le déclin, vient tourner au Japon une publicité. Charlotte (Scarlett Johansson), une jeune mariée elle aussi américaine, accompagne son mari en voyage de presse. Désœuvrés, dépaysés, délaissés, tous deux sont aussi perdus dans leur vie que dans Tokyo. Romantique et sans lendemain, leur brève rencontre va changer leur vie.
Dans « Il était une fois… LOST IN TRANSLATION », Sofia Coppola explique la fascination qu’exerce sur elle le Japon et le documentaire souligne le choc culturel que provoque pour un Occidental la découverte de ce pays, son mélange de tradition et d’hyper modernité, son étrangeté renforcée par la barrière de la langue. Sofia Coppola raconte aussi comment elle a dû traquer pendant un an Bill Murray avant qu’il accepte le rôle de Bob.
Toute l’équipe du film témoigne des drolatiques péripéties d’un tournage mouvementé dans Tokyo, illustrées par un savoureux « making-of » inédit du film, où l’on découvre que ce n’étaient pas seulement les personnages de la fiction qui étaient « perdus dans la traduction »